Bienvenue sur un parcours où chaque lieu semble avoir conservé un fragment d’histoire, une légende ou un parfum de campagne d’autrefois .

 Les Onze Bonniers

De grands espaces paisibles où la brume du matin flotte comme un vieux souvenir de la terre .

 Ruisseau de Pont à Mousson & Ruisseau des Corbeaux

Deux petits cours d’eau qui murmurent sans cesse…
On raconte que les corbeaux guidaient jadis les voyageurs perdus .

 Bois de l’Hôpital, Bois du Planti & Bois d’en Bas

Trois forêts, trois ambiances :
herboristes d’autrefois, chevreuils furtifs et sources secrètes… un trio de nature vivante .

 Canal historique Bruxelles–Charleroi

Un ruban d’eau chargé de mémoire, témoin des péniches et des chevaux de halage. En le longeant, on marche un peu dans le passé .

 La Gratière, La Thines & Hiernoulet

Petits coins de campagne où libellules, herbes parfumées et lumière dorée créent des paysages simples mais magiques .

 Ferme de la Barette, Ferme de l’Abbaye & Ferme du Seigneur

Vieilles bâtisses qui semblent veiller sur les champs depuis toujours…
Certaines légendes parlent de cloches oubliées et de moines voyageurs .

 Digue et Caverne du Philosophe

Un lieu où le silence résonne. On y sent encore l’écho d’un sage venu méditer loin du monde .

 Ronquières, Chenu & Bornival

Trois noms qui sentent la route, les pentes douces et les villages tranquilles. En les traversant, on a l’impression d’ouvrir un vieux livre de la région .

 Une rando qui raconte des histoires

Entre bois, ruisseaux, vieilles fermes et paysages sculptés par le temps, cette balade offre un vrai souffle d’évasion.
Il suffit d’avancer… et de laisser les lieux murmurer leurs secrets .

INFORMATIONS DIVERSES

 Apporter Pic Nic

 DISTANCE : 16,6 km (rythme cool !)

 PAF essence : 5,-euros A/R (possibilité de covoiturage
depuis métro Veeweyde Anderlecht à 10h15)

 BON A SAVOIR

Chacun(e) marche sous sa propre responsabilité !

 Chiens adorables bienvenus… on compte sur leurs maîtres et maîtresses ! 

 Marcher, c'est prendre le temps de vivre, de regarder, d’ouvrir ses sens à la diversité et de sentir les minutes et les heures glisser sur la peau. Quand le corps accepte sa peine, respiration et mouvement s’allient, libérant ainsi la pensée qui toute entière s’enveloppe du présent.

« Telle un défi à la vitesse et au bruit, la marche incite à la modestie, pousse à la curiosité, suscite la méditation. Elle invite au repli, à l’intimité, à se taire pour mieux écouter.